Brumes, brouillards et mal aux genoux.
Alors c’est-ce que cela donne, un Paris Carnet après presque 30 heures dépourvues de sommeil et une partie appréciable de la journée passée sur mes genoux. Intéressant.
Beaucoup de bribes de conversations et autres informations filtrèrent à travers le brouillard céphale. Comment tenir la comptabilité d’une société, comment manger des Tagliatelle Carbonara, comment résoudre des conflits de dépendances en plomberie (sans apt-get), la perspective d’un bar-camp parisien, comment dire « conduire la nuit » en français québécois1 et Lille gagnant 1:0 contre Manchester à moins qu’il y ait eu un but pendant les 8 dernières minutes.
Approche raisonnée : passer un peu de temps chaque fois avec les carnetiers/ères dont on ne connaît pas encore très bien la version chair et os. Cette fois, c’était à Mel’O’Dye et l’autre Laurent : on parla de sarcophages ; et de Sarko-phages ; et la différence entre une petite-fille et une petite fille ; et de mon caractère dangereux (auquel d’autres n’ont pas l’air de trop croire). Et, finalement, Mouche, qui a tellement de fans qu’il faut savoir s’y prendre.
Quand j’aurai un an de plus, j’aurai peut-être même le droit de partager la compagnie parnet-caritiste de Kozlika. En attendant, je soigne les bleus sur mes genoux.
1 D’ailleurs, M. Embruns Hard-Lite Gloaguen-Dernière (voir le bas de page) était de retour.
Un jour on se verra sans alcool.
D’ici là, remets bien tes genoux.
Et quand je serai reveillée. :)
Hmmm dans ce cas #wp est vraiment un bon endroit :)